En réponse au questionnaire sur le thème des blessures collectives, l’équipe des participants de la Côte d’Ivoire nous a envoyé les résultats des réflexions menées au sein du groupe, ainsi que celles recueillies lors d’échanges avec des acteurs de la société civile et avec des victimes et témoins des crises militaro-politiques qu’a connu le pays. Les documents correspondants sont accessibles en bas de la page.
Un écho de ces textes
« Ces blessures se manifestent par la méfiance au sein de la population, la psychose qui se traduit par la peur, la méchanceté, l’injustice, le tribalisme, le népotisme, l’exil, le silence des victimes, la frustration l’esprit de revanche. Nous sommes tous touchés par toutes ces blessures. »
Images qui témoignent
Population et forces de l’ordre lors de l’attaque du camp de déplacés Nahibly en juillet 2012.
Les membres de la délégation ivoirienne en compagnie des victimes des crises lors de la rencontreAdolphe en compagnie d’un témoin de la crise postélectorale de 2011 M. Tibault (à droite)À droite, Yves Kouadio, de l’ACAT Cd’I, et à gauche, M. Clément, de Caritas Cd’IOlympe Konan, de La Balle aux Prisonniers (LABAP) et Patrick Yeo, de la Ligue ivorienne des droits de l’homme (LIDHO)